| 1974
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			| Modeste maison familiale sur un niveau et disposée dans un petit jardin.
			Les pièces y sont desservies par un couloir central ouvrant sur l’Est. La façade Sud donne sur 
			les salon, salle à manger et cuisine en enfilade. Toutes les autres pièces sont disposées au Nord. 
			Les murs massifs sont en pierre ouverts de vastes baies pour intensifier la lumière |   | 
		
			| 1975
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			|   | Maison familiale rectangulaire sur deux niveaux. Les murs extérieurs massifs de 
			pierre doublés dans la partie inférieure de tavaillons sont recouverts d’un toit de bardeaux. 
			De longs balcons sont disposés à l’Est et à l’Ouest en étage. | 
		
			| 1976
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			| Vaste demeure sur deux niveaux aux murs épais, à l’extérieur blanc cassé et 
			lisse ajourés de grandes fenêtres. Une longue cour intérieure garnie de colonnes et en partie 
			couverte, invisible de l’extérieur, ouvre par des arches des couloirs qui desservent les 
			nombreuses pièces. |      | 
		
			| 1977
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			|   | Modeste maison familiale sur un niveau au revêtement extérieur granuleux. Les 
			ouvertures y sont presque aussi hautes que les murs. La disposition des pièces est arrangée en 
			symétrie autour de la cuisine et de la cheminée, à l’exception des garage, bureau et sanitaires 
			excentrés. | 
		
			| 1978
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			| Demeure sur un seul niveau disposée en L dont un angle monte en tour sur un étage,
			à l’opposé d’un atelier. Les ouvertures hautes éclairent une pierre traditionnelle. Les fenêtres 
			de la tour offrent une vue sur les quatre points cardinaux. |   | 
		
			| 1979
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			|   | Maison sur un seul niveau aux vastes pièces, entièrement organisée autour d’un 
			petit couloir central parcouru essentiellement de portes. Les salon, salle à manger et atelier 
			(unique pièce en extrusion d’une surface presque carrée), orientés vers le Sud, sont ouverts de 
			très grandes baies. | 
		
			| 1980
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			| Maison sur trois niveaux dont une cave en sous sol, massive et rectangulaire 
			dont l’originalité tient à un ensemble salon / salle à manger au plafond plus élevé que les 
			autres pièces. L’étage a donc deux niveaux : des pièces normales et d’autres aménagées en 
			combles basses et accessibles par une volée de marches. |   | 
		
			| 1981
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			|   | Maison en L sur un niveau, à l’exception de la tour aux vastes ouvertures qui 
			compte un étage. L’extérieur allie pierres claires et boiseries et l’intérieur la brique cuite 
			dans un décor résolument traditionnel. | 
		
			| 1982
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			| Vaste propriété sur trois niveaux, en bordure de plage, dont au moins les 
			terrasses donnent sur celle-ci. Le perron qui permet l’accès à la porte (des baies vitrées) au 
			premier étage, est soutenu par des colonnes. Les pièces de vie communautaire sont au 1° étage, 
			le rez-de-chaussée étant aménagé en chambres et salle d’eau. |   | 
		
			| 1983
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			|   | Vaste et massive demeure rectangulaire. Un long couloir central, en partie 
			couvert d’une mezzanine, dessert les pièces. La charpente est partout visible et de nombreux 
			velux parfont l’éclairage. | 
		
			| 1984
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			| Immense demeure sur quatre niveaux, sur une plage et adossée à une falaise 
			rocheuse qui donne accès au deuxième étage. Le rez-de-chaussée n’abrite qu’un garage et de 
			nombreuses colonnes qui soutiennent l’ensemble. Le premier et le dernier étage, dans leur partie 
			orientée vers la mer, sont essentiellement vitrés. Toit et murs sont recouverts de bois. |   | 
		
			| 1992 A et B
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			|      | Deux plans (taille minima et taille maxima) de maisons de taille modeste sur 
			trois niveaux. Une cave sous une butte artificielle, un rez-de-chaussée surélevé et un grenier 
			aménagé. L’idée est d’optimiser l’espace de rangement, d’économiser les recoins pour l’entretien 
			ainsi que de libérer l’espace. L’ensemble aboutit à des rangements intégrés du sol au plafond le 
			long des murs extérieurs et des cloisons intérieures coulissantes. Un concept japonisant dont la 
			décoration rompt la sobriété. | 
		
			| 2000 A et B
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			| Variation du concept précédent, celui-ci reprend l’idée de cloisons mobiles, de 
			mobilier intégré à l’immobilier mais la petite superficie, qui pourrait être l’adaptation d’une 
			échoppe charentaise, y est différemment organisé et le grenier y est aménagé en mezzanine, 
			libérant l’espace. |      | 
		
			| Symétrie
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			|   | Adaptation d’une échoppe charentaise traditionnelle en deux petits appartements 
			communiquant autour des communs composés de la cuisine, des toilettes et de la salle de bain. 
			Une mezzanine est aménagée des deux côtés pour accroître la superficie disponible |